L’énergie électrique éolienne est produite par la transformation de l’énergie mécanique du vent en énergie électrique. Cette énergie constitue l’une des principales sources d’énergie renouvelable en France. Elle participe à l’équilibre offre-demande du système électrique national et contribue à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
La filière est créatrice de valeur ajoutée, d’emplois locaux et d’innovations techniques et sociales. Les entreprises françaises sont exportatrices de composants destinés aux fabricants étrangers (génératrices, couronnes d’orientation) ou à l’installation de parcs à l’étranger (câbles, etc.).
Le bilan environnemental de l’éolien est largement positif. Son impact sur les espèces, sur le bruit et sur les paysages fait l’objet d’études et d’une réglementation pour le limiter.
de parcs éolien terrestre sont en cours de construction
inauguré au lycée Descartes Maupassant de Fécamp en 2020
pour 250 entreprises (faisant appel à 150 sous-traitants)
Depuis le 23 avril 2020, la France accélère son engagement dans la transition énergétique en adoptant, le décret relatif à la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PEE).
Malgré tout la Normandie peine à atteindre les objectifs éoliens terrestres fixés en 2011 par les anciens Schémas Régionaux Climat Air Energie de Haute et de Basse Normandie (SRCAE). En plus de la présence d’un habitat dispersé et de zones à enjeux ne permettant pas toujours l’installation de parcs éoliens, la filière rencontre en Normandie une forte opposition locale.
Pourtant, une large majorité des entreprises de la filière travaillent de manière concertée avec les élus locaux et les habitants. Ensemble ils sont attentifs à la préservation de l’environnement, veillent à l’intégration paysagère. Afin de mettre en lumière ces bonnes pratiques, une vingtaine de constructeurs et développeurs membres du cluster éolien de Normandie Energies ont élaboré une charte.
