Ce pôle répond aux enjeux de la diversification du mix énergétique et d’augmentation de la part des énergies renouvelables dans la production française. Autour de nos membres (grands groupes industriels, PMI locales et nationales, universités et grandes écoles, ainsi que laboratoires de recherche), il sensibilise les différents acteurs des territoires, créé les opportunités et accompagne l’émergence des projets d’énergies renouvelables.
La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte fixe à 32% la part des renouvelables dans la consommation nationale d’énergie en 2030, soit 40% de la production d’électricité, et 38% de la consommation de chaleur via la biomasse et le biogaz.
Les énergies renouvelables contribuent à la lutte contre le changement climatique en décarbonant le mix énergétique, mais également au développement de nouveaux modes de gestion de l’énergie, à la décentralisation de la production, à l’injection de biogaz et d’électricité verte dans les réseaux, ou encore au stockage.
envisagée sur les énergies marines. La Normandie est le territoire fer de lance sur ce sujet avec l’éolien en mer et l’hydrolien.
Portée par l’ex basse Normandie, le développement de la production de biogaz avance sur le territoire.
le plus grand électrolyseur de France se construit en Normandie. Les projets d’hydrogène décarboné d’envergure se multiplient le long de la Seine.
La Normandie en retard vis-à-vis des autres régions sur le développement des EnR électriques. Le potentiel (même solaire) est là, il ne reste qu’à concrétiser.
Le rayonnement du soleil peut-être capté et converti :
– en électricité, grâce au solaire photovoltaïque
– en chaleur, grâce au solaire thermique
Normandie Energies accompagne les acteurs du territoire normand sur ces sujets, pour en savoir plus sur ce sujet et nos actions : En savoir plus
La filière connait en Normandie une dynamique positive qui répond à la fois au besoin de valorisation des déchets, de transition énergétique et d’économie circulaire locale. Le méthane renouvelable (principalement issu de méthaniseurs agricoles aujourd’hui) peut être :
La France consomme 1Mt d’hydrogène par an, dont 1/3 en Normandie. Actuellement produit à partir de ressources fossiles, la décarbonation de l’hydrogène est un enjeu crucial du territoire. La piste principale est par la production locale via l’électrolyse de l’eau. Cette production verte répondra à plusieurs enjeux :
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Malgré un potentiel important en vent et son gigawatt de puissance installée, la Normandie cumule de nombreuses contraintes (radars militaires et météo, zones de vol à basse altitude, habitats morcelés …) limitant le développement de l’éolien terrestre sur son territoire. Ainsi 60% de la puissance éolienne régionale est installée en Seine maritime et la moitié de cette dernière sur 3 communautés de communes au Nord du département.
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La Normandie est le fer de lance du développement de l’éolien en mer avec déjà le parc de Fécamp en fonctionnement et les parcs de Courseulles et de Dieppe-le Tréport en construction. D’ici 2035 c’est une puissance de 9 GW d’éolien en mer qui est envisagée le long des côtes normandes.
La France a l’un des potentiels hydroliens (usage des courants marins pour créer de l’électricité) les plus importants d’Europe et du monde. Ce potentiel se trouve principalement sur le Raz Blanchard au large de la pointe de la Hague. Deux projets sont en cours pour une puissance totale de 30 MW. D’ici 2030 il est envisagé d’installer 250 MW supplémentaires.
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